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LETTRE TROISIÈME


dans mes bras et lui fis lire ta lettre. Le croirais-tu ? Elle la dévora, la baisa… Et pour réponse, m’empoigna l’outil qu’elle me suça d’abord. Je n’eus pas le temps de m’en défendre ; je perdis bientôt connaissance, en lui lançant mon sperme jusque dans l’estomac, car elle l’avala. Revenu de ma léthargie, je la trouvai se frottant le bouton en relisant encore ta lettre. Elle vint à moi, me sauta au col, m’embrassa voluptueusement en me disant que j’étais un modèle de ce que devraient être les maris. Je lui demandai si le sien me ressemblait — Vous ressembler ? dit-elle. C’est bien le plus sot animal qu’il y ait au monde ; il est si jaloux, qu’il ne me laisse seulement pas sortir de la maison, et contre son habitude, il m’a laissé seule aujourd’hui. — L’avez-vous déjà fait cocu ? — Jamais. — Allons, profitons de l’occasion, dis-je en la renversant sur un canapé. Je la trousse !… Figure-toi, ma chère femme, des cuisses plus blanches que celles de notre présidente, aussi bien faites que les tiennes ; un cul, Dieu sait ! Je voulais commencer par lui rendre hommage ; mais elle me dit que sa matrice était en feu, et qu’il fallait avant tout la lui rafraîchir. Je l’enconne donc ; ce n’était pas un con que je fou-