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LETTRE TROISIÈME


tais, c’était un vrai brasier. Si tu l’eusses vu se démener, faire ses hauts le corps, ses tordions, tu en serais tombée pâmée : que de foutre elle perdit ! Enfin je la retourne et l’exploite ; j’éprouvai quelque peine, car elle n’avait pas jusqu’alors été socratisée. Je lui baisai ses tétons, qui étaient superbes, et la quittai pour commencer mes tournées nocturnes. Demain je t’en rendrai compte.

Ton époux,
B…

Lettres d’un Provençal, 1867, Figures
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