l’enculer, mais sa vigueur le trahit. À force de
paillassonner, je sentis ne pouvoir plus bientôt
retenir ma liqueur. Je composai un groupe tout
à mon avantage. Je me couchai sur le dos, le
cul sur la tête de Julie, qui me gabahota l’anus.
Je branlai le maquereau de ma main droite. Je
mis le doigt du milieu de la main gauche dans
le joli cul de Laurence. Joséphine et Élisa me
léchèrent la plante des pieds. La bouche de
Louise s’accola à la mienne. Adélaïde et Cassepine
me tétèrent. L’édentée Lévêque sauta sur
mon polisson de vit, se l’enfonça jusqu’au fond
du gosier, me chatouilla les zouzettes en appuyant
par moment sur le canal de l’urêtre.
Bientôt le chatouillement est général, je me sens
absorbé, anéanti, et décharge pendant un quart
d’heure consécutif. Le plaisir que j’ai ressenti
ne peut pas se décrire ; essaye, ma chère amie,
de cette position et tu m’en diras deux mots. Je
te quitte pour courir à d’autres plaisirs. Réponds-moi
et reçois mille tendres baisers que je t’envoie.
P.-S. — Si la scène de la Lévêque pouvait séduire quelques-uns de nos amis, tu leur diras qu’il m’en a coûté six louis pour le tout.