suit : La Lévêque se mit à genoux appuyée sur
ses mains. La langotteuse se coucha sur le dos,
en sorte que sa tête se trouva sous celle de Lévêque,
et lui fit langue fourrée. Laurence se glissa
dessous et lui chatouilla le clitoris avec un bâton
de pommade : Élisa et Adélaïde lui suçaient
chacune le giron. Cassepine lui administrait de
vigoureux coups de fouet sur les reins, et
Louise, également à quatre pattes, avait le nez au
cul et la langue dans le con de la Lévêque ; j’enculai
Louise dans cette position ; le maquereau
me fit la même opération. Lévêque ne tint pas
aux titillations qu’elle éprouvait de tant de manières ;
elle ne cessa pas un instant de décharger, de
pissotter et de pétrailler. Elle fut près d’une
heure sans connaissance. Je fus maître de ma
semence ; je ne la répandis pas cette fois. Le maquereau
me décula. Louise le fut aussi. Je m’armai
d’une énorme poignée de verges et retirai la
Lévêque de son anéantissement, en lui appliquant
une cinquantaine de coups sur son gros
vilain cul. Je baisai celui de toutes les femmes et
le gabahotai ensuite. J’adressai un hommage
particulier à celui de la belle Laurence. Le petit
nez retroussé voulut que je l’enconnasse, et je la
limai quelques minutes. Le maquereau tenta de
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LETTRE CINQUIÈME