Page:Lettres d’un Provençal à son épouse, 1867.djvu/39

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
33
LETTRE CINQUIÈME


suit : La Lévêque se mit à genoux appuyée sur ses mains. La langotteuse se coucha sur le dos, en sorte que sa tête se trouva sous celle de Lévêque, et lui fit langue fourrée. Laurence se glissa dessous et lui chatouilla le clitoris avec un bâton de pommade : Élisa et Adélaïde lui suçaient chacune le giron. Cassepine lui administrait de vigoureux coups de fouet sur les reins, et Louise, également à quatre pattes, avait le nez au cul et la langue dans le con de la Lévêque ; j’enculai Louise dans cette position ; le maquereau me fit la même opération. Lévêque ne tint pas aux titillations qu’elle éprouvait de tant de manières ; elle ne cessa pas un instant de décharger, de pissotter et de pétrailler. Elle fut près d’une heure sans connaissance. Je fus maître de ma semence ; je ne la répandis pas cette fois. Le maquereau me décula. Louise le fut aussi. Je m’armai d’une énorme poignée de verges et retirai la Lévêque de son anéantissement, en lui appliquant une cinquantaine de coups sur son gros vilain cul. Je baisai celui de toutes les femmes et le gabahotai ensuite. J’adressai un hommage particulier à celui de la belle Laurence. Le petit nez retroussé voulut que je l’enconnasse, et je la limai quelques minutes. Le maquereau tenta de