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LETTRE SEPTIÈME

— Apprêtez-vous, sacrées bougresses, leur dis-je avec une voix de Stentor, à recevoir chacune une injection de mon sperme ; et je tombai sur le cul de Noli : elle m’empoigne d’une main l’outil et l’engloutit d’abord dans sa brûlante matrice. — Dieux ; que fais-tu, malheureuse ? et comme je sens l’approche du plaisir, je le retire à propos et le précipite dans le trou qui a causé la ruine de Sodôme. Je ne suis plus maître de moi ; mon vit, pressé aussi fortement à la souche qu’il l’est au prépuce, pisse le foutre en telle abondance, qu’il me jette dans un délire frénétique. Je me retire sans débander, et continue à les enculer toutes, en déchargeant chaque fois. Mon courage ne m’abandonne pas encore, mais ma pine me fait faux-bond, et comme c’est l’âme des plaisirs de la couille, je vais faire en sorte de lui faire lever cette tête altière par une position qui me vient à l’idée.

Je fais redresser mes catins et leur fais refaire un autre demi-tour. Je leur enjoins de se pincer les lèvres du con, en lui relevant la moustache, et de pisser en même temps. Elles le font ; ce n’est plus qu’un déluge de tous côtés. La vue de ces douze jets d’eau n’opère pas le miracle que j’attendais ; mon engin est toujours mollasse.