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Page:Lettres d’un Provençal à son épouse, 1867.djvu/96

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LETTRE TREIZIÈME


rent après quarante décharges complètes. Elles convinrent d’un commun accord que j’étais un bon coq et qu’elles n’en avaient pas encore trouvé un qui m’eut égalé. Je leur parlai de toi et elles m’ont bien fait promettre de leur faire faire ta connaissance dès que tu serais arrivée.

Adieu, mon cher trésor, je t’embrasse
de cœur,        
B…

Lettres d’un Provençal, 1867, Figures
Lettres d’un Provençal, 1867, Figures