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ne peut donner vn nom aſſez funeſte, me priuera donc pour toûjours de regarder ces yeux, dans leſquels je voyois tãt d’amour, & qui me faiſoient connoître des mouuemẽs, qui me combloient de joie, qui me tenoient lieu de toutes choſes, & qui enfin me ſuffiſoient ?