Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/25

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reux Cloiſtre, je n’attendrois pas en Portugal l’effet de vos promeſſes : j’irois, ſans garder aucune meſure, vous chercher, vous ſuivre, & vous aimer par tout le monde ; je n’oſe me flatter que cela puiſſe être, je ne veux point nourrir une eſpérance qui me don-