Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/26

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neroit aſſurément quelque plaiſir, & je ne veux plus être ſenſible qu’aux douleurs. I’avoue cependant que l’occaſion que mon frere m’a donnée de vous écrire a ſurpris en moi quelques mouuemens de joie, & qu’elle a ſuſpendu pour un moment le deſeſ-