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Thérèse rentre avec la lampe. Elle aperçoit le visage de Trott tout en larmes. Elle pose précipitamment sa lampe et le prend sur ses genoux.
— Seigneur Dieu ! mon chéri, qu’avez-vous ?
De gros sanglots soulèvent la poitrine de Trott. Mais la lampe verse de la lumière et de la gaieté. C’est bon de n’être plus seul. Peu à peu les sanglots s’apaisent et les vilaines idées s’en vont.
Mais le soir, avant de s’endormir, il murmure très bas à l’oreille de Jane, tout étonnée :
— N’est-ce pas, Jane, je serai toujours un petit garçon ?