mais j’ose vous implorer, tout misérable que je suis, prenez pitié de moi, et soyez béni, vous qui êtes le Dieu de nos pères.
Seigneur, pénétrez-moi de votre crainte salutaire, guidez mes pas vers le salut, afin que, sauvé par vous, je chante, Seigneur miséricordieux : Béni soit le Dieu de nos pères.
Ô mon Sauveur, je vous ai promis bien souvent de faire pénitence ; mais malheureux que je suis, j’ai manqué à ma promesse ; je vous implore en ce moment, daignez éclairer mon âme endurcie, car vous êtes, ô mon Sauveur, le Dieu de nos pères.
Le Dieu Sauveur naquit de votre sein, Mère bienheureuse, par un mystère surnaturel ; priez-le, Vierge Très-pure, afin qu’il me pardonne mes nombreux et dégradants péchés ; et en regagnant l’espérance du salut, je vous dirai : Soyez bénie, vous dans le sein de laquelle le Verbe de Dieu s’est incarné.