Page:Livre de prières, 1852.djvu/175

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grâce ; car rien ne vous est impossible par la vertu du Sauveur Tout-puissant, ô bienheureuse Vierge.

Maintenant, etc.

Venez à mon secours dans l’accablement où me jettent mes faiblesses et mes penchants ; je vois en vous le trésor des guérisons, trésor toujours inépuisable.

(On récite les versets suivants après le IIIe et le VIe chant.)

Ô Mère de Dieu, arrachez vos serviteurs à tous les périls qui les menacent ; après Dieu vous êtes notre refuge et notre seule protectrice.

Mère de Dieu, objet de mes louanges, daignez abaisser vos regards sur nos infirmités, et calmez les douleurs de mon âme.

On nomme ici ceux dont le prêtre (s’il est présent) veut faire mémoire, et ensuite on dit 15 fois :

Seigneur, ayez pitié de nous.