et ces relations continueraient de subsister lors même qu’un des
angles,
par exemple, serait droit (fig. 36), ou obtus (fig. 37). On
a donc généralement, pour un triangle quelconque,
(3)
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Dans un triangle dont les angles
et
sont aigus (fig. 35), on
a encore (équation 2)
![{\displaystyle \cos \Pi (x)=\cos A\,\cos \Pi (b),}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/8b51be27274f8e1169502ae05e17150045d208e0)
![{\displaystyle \cos \Pi (c-x)=\cos B\,\cos \Pi (a),}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/4863df5d45a64bca2d57ceff39872cab03bea71e)
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Fig. 36
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Fig. 37
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équations qui subsistent encore pour un triangle dans lequel un des
angles
serait droit ou obtus. Ainsi, pour
(fig. 36),
on devra prendre
la première équation se change alors dans
celle que nous avons trouvée plus haut (équation 2) ; l’autre se vérifie
d’elle-même. Pour
(fig. 37), la première équation n’est
pas altérée, tandis que la seconde devient
![{\displaystyle \cos \Pi (x-c)=\cos(\pi -B)\,\cos \Pi (a).}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/c62a3e09ac38d57feee6890d7b48bcde6b513754)
Or, on a
(prop. 23), et d’ailleurs
Si l’angle
est droit ou obtus, on remplacera
par
et
par
pour ramener ce cas au précédent.
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