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Page:London - La plus belle pépite, paru dans Candide, 31 juillet 1940.djvu/20

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Mon espagnol de Spiggot n’avait rien de brillant, mais je vis qu’elle comprenait ; pourtant elle se borna à secouer la tête, sans rien dire. Mais, sapristi ! elle valait le coup d’œil… »

J’observai Mme Jones, non sans appréhension ; elle dut s’en apercevoir, car elle murmura :

— Dans le cas contraire, croyez-vous qu’il l’aurait emmenée chez lui ?

— Allons, Sarah, du calme ! protesta-t-il. Ce n’est pas chic ! Laisse-moi finir mon histoire…

« Alors, Seth me cria : « — Vas-tu rester là toute la nuit ?

« Viens ! dis-je à l’Indienne. Grimpe ! Mais une autre fois ne t’amuse pas à faire des signaux aux locomotives entre les stations. »

« Arrivé au marchepied, je me tourne vers elle pour l’aider à monter : plus personne ! Je passe de nouveau à l’avant :