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Page:London - La plus belle pépite, paru dans Candide, 31 juillet 1940.djvu/24

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vailler de la langue. En repassant à l’endroit où nous l’avions ramassée j’arrêtai le train pour lui permettre de descendre. Elle tomba à genoux, m’étreignit les jambes de ses bras et sanglota éperdument. Que pouvais-je faire ?

Mme Jones nous donna à entendre qu’elle savait à coup sûr ce qu’elle aurait fait à la place de son mari.

« Dès notre arrivée à Quito, elle disparut comme la veille. Sarah ne veut point me croire quand je lui dis à quel point je me sentis soulagé d’en être débarrassé. Je me rendis donc à ma case et m’expliquai avec un dîner excellent préparé par ma cuisinière, une métisse du nom de Paloma.