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Page:London - La plus belle pépite, paru dans Candide, 31 juillet 1940.djvu/30

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« À la suite de cette scène, Vahna parut troublée devant moi et se confina dans la cuisine. Mais bientôt elle recommença de se tenir dans la grande salle. Bien que toujours fort timide, elle fixait continuellement sur moi ses grands yeux…

— La garce !

Cette fois, j’entendis nettement l’exclamation. Mais Julian Jones et moi nous y étions habitués maintenant.

— Je ne crains pas de dire, poursuivit Jones, que je commençais à m’intéresser à elle – oh ! pas dans le sens où Sarah