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Page:London - La plus belle pépite, paru dans Candide, 31 juillet 1940.djvu/31

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l’entend. Cette pépite de deux livres m’occupait l’esprit. Si Vahna consentait à me renseigner sur son origine, je pourrais dire adieu au chemin de fer et revenir au Nébraska et retrouver Sarah.

« Puis ce fut la fin des haricots… Arrive une lettre du Wisconsin : Ma tante Elisa venait de mourir et me laissait sa grande ferme. Je poussai un cri de joie en apprenant la nouvelle. Hélas ! Je fus plus tard complètement dépouillé par les juges et les hommes de loi ; ils ne me laissèrent pas un cent et je les paie encore par acomptes.

« Mais je ne pouvais le prévoir. Je fis donc mes préparatifs pour cingler vers le Pays de Dieu. Paloma en fit une maladie et Vahna, tout en larmes, gémissait : « Ne t’en va pas ! Ne t’en va pas ! »

« Je donnai préavis à la Compagnie et j’écrivis à Sarah — pas vrai, Sarah ?