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Page:London - Le Cabaret de la dernière chance, 1974.djvu/218

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laquelle infusaient des peaux d’orange et de pomme. Pendant tout le voyage je ne bus pas autre chose avec mes compagnons. S’ils avaient absorbé du whisky, j’aurais certainement fait comme eux.

Qu’on n’aille pas croire que je manquais de volonté. Peu m’importait le choix des boissons. Je débordais de jeunesse, de témérité, et l’alcool était pour moi une quantité absolument négligeable.