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Page:London - Le Cabaret de la dernière chance, 1974.djvu/266

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rêver le rêveur, il dissipe en brouillard le paradoxe de l’existence, jusqu’à ce que sa victime s’écrie, comme dans La Cité de l’épouvantable nuit[1] : « Notre vie est une duperie, notre mort un abîme de noirceur. » Et quand la victime en est à ce point d’horrible intimité, ses pieds sont engagés sur le sentier de la mort.

  1. Œuvre de R. Kipling.