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Page:London - Le Loup des mers, 1974.djvu/226

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LE LOUP DES MERS

brioles auxquelles se livrait le Fantôme, je pensais qu’il m’aurait été impossible de dormir.

Mes yeux se fermèrent pourtant, dès l’instant même où ma tête toucha le traversin, et je dormis toute la nuit, à poings fermés, tandis que le Fantôme, abandonné à lui-même dans la tempête, flottait sur l’eau comme un bouchon.