Page:London - Pleine Lune, paru dans Noir et Blanc, 13 mai 1934.djvu/9

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Je mis le feu à son hangar à foin et à sa grange. Le lendemain, un dimanche, je vis mon bonhomme déambuler plein de joie et d’entrain par les sentiers fleuris.

— Où allez-vous donc ? lui criai-je.

— À la pêche, me répondit-il, sa face resplendissant comme la lune à son plein. J’aime tant les truites !

Fut-il jamais homme aussi grotesque ! Toute sa récolte venait d’être brûlée et il n’était