Aller au contenu

Page:Londres - Adieu Cayenne.djvu/162

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

XVI

D’ÉTONNEMENT EN ÉTONNEMENT


Ma chambre à Rio de Janeiro, est vaste ; cela permet à Dieudonné de se promener à grands pas.

— En français, encore ! Ces quatre-là n’avaient dû apprendre le français que pour venir un jour derrière moi et me dire : « Suivez-nous ! »

Peut-être étaient-ce les deux seuls mots qu’ils connaissaient.

Alors quoi ? (Dieudonné s’emballe. Ce souvenir-là ne lui vaut rien). J’entendrai toujours ce « Suivez-nous » ? Je