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Page:Londres - Chez les fous, 1925.djvu/211

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Isoard est guéri. Ce matin, il quitte l’asile. Ébloui par la liberté il s’est arrêté à la grille et regarde l’avenue en face de lui.

Depuis huit jours Isoard me voyait rôder dans son établissement, il me connaissait bien.

— Je vous emmène déjeuner, lui dis-je.

Il me répondit :

— Je ne suis pas trop bien habillé.

Nous partîmes.

Isoard est solide. Il avait fait la guerre « sans rien ».