Page:Londres - Chez les fous, 1925.djvu/76

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Le mystère humain qu’est la folie s’épaissit dans les bâtiments pendant la nuit.

L’étonnement qui, comme une auréole, ne cesse de nimber le spectateur de la vie des fous grandit alors, autour de lui, jusqu’à l’infini.

Les asiles deviennent des cloîtres diaboliques.

Il était onze heures du soir quand je m’amenai devant la grille de la maison départementale de cette ville du Sud.

Le portier dormait. C’était bien l’heure. Le di-