Page:Londres - L’Homme qui s’évada, 1928.djvu/207

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


XIX

RIO DE JANEIRO À L’OMBRE


Vous pensez si j’attendais Rio de Janeiro ! Le voyage dura treize jours. Vous souriez ? Si, si, je le vois, cela vous amuse que je guette avec impatience l’heure d’être ramené dans une prison.

L’impression que Rio me fait ? C’était tellement joli que je ne pouvais m’imaginer qu’il y eût des prisons dans un endroit pareil.

On entre dans la baie.

L’agent 29 traduit son enthousiasme par des coups de poing que je reçois dans le dos, amicalement.