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LA CHINE EN FOLIE

Éminence avait bien voulu me faire sur elle de chauds compliments.

Je la secouais, je l’épouillais. Je lui parlais :

— Viens, ma vieille, nous allons encore prendre le train !

Dire que maintenant elle borde sans doute et pour toujours la couche immobile d’un Finlandais sédentaire, peut-être même d’un douanier !

Ô toi ! qui ne voyageras plus jamais, pardonne-moi !