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Page:Londres - Le chemin de Buenos-Aires, 1927.djvu/153

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LE CHEMIN DE BUENOS-AIRES

complications. Si tu désires rentrer en France, je te rends libre. Habille-toi et suis monsieur. Il va te remettre au Consulat.

— Non ! fit-elle, je reste ici. Je le dis et je le redis.

— Alors ferme la boutique, on va aller se promener.

J’avais non seulement perdu la face, mais aussi le dîner. Du moins je jugeai ainsi. Je le leur offris.

On finit gaîment la soirée.

Pendant le repas, je me disais :

— Si jamais le Consul et le Chancelier entrent dans ce restaurant, ils vont prendre l’apôtre pour un joli coco !