Dépêchez-vous. — Et chacun de son côté.
Modérez-vous, monseigneur, je vous en supplie.
Ces coquins-là voudraient aller former des groupes séditieux hors de ma présence.
Calmez-vous, de grâce. Un peu de patience.
Je suis étonné de m’en trouver autant. — Séparez-vous, et que chacun se rende à sa maison.
Ô ciel ! tu permets tout cela !
Moi, je m’en vais par ici.
Que dites-vous de ces rustres ?
Vous ne savez pas dissimuler, et ils n’ont pas pu écouter de sang-froid vos agréables confidences.
Ils osent s’égaler à moi !
Ils n’ont pas cette prétention.
Et le drôle de l’autre jour a encore mon arbalète et reste impuni !
Hier au soir je crus le voir à la porte de Laurencia, et je donnai joliment sur les oreilles à quelqu’un qui avait le malheur de lui ressembler.
Où peut-il se cacher, ce coquin de Frondoso ?
On dit qu’il doit être dans ces environs.
Comment ! un homme qui a voulu me tuer serait aussi près de moi !
Comme l’oiseau étourdi il répond à l’appeau ; comme le poisson affamé il vient mordre à l’hameçon.
Dire qu’un paysan, un polisson, a pointé son arbalète sur la poi-