Comment ai-je été assez heureux pour triompher de tant de dédain ?
Parce que l’occasion était favorable et que votre sœur l’a exigé, à qui je dois beaucoup.
N’est-elle pas bien belle ?
Jamais, vive Dieu ! je n’ai rien vu de pareil, et vous devez de fameux remercîments à la fortune.
Ses yeux sont deux étoiles.
Ah ! Inès ! quel bonheur ! don Juan dans la maison !
Tout paraît se disposer pour le mieux.
Que faire, mon ami ?
Bien cacher votre joie.
J’en suis tout ému.
Pour moi, j’ai été fort content de voir rentrer la mule en scène, tant parce que j’ai à m’acquitter envers elle de quelque petit mémoire mulesque[1], que parce que je n’aurais point voulu qu’on vînt à la fin de l’histoire nous dire : « Et la mule ? »
Ma sœur, ce cavalier est celui à qui j’ai tant d’obligations. Je voudrais les reconnaître. C’est à vous de m’y aider par le bon traitement que vous lui ferez.
Je suis prête à le servir en tout.
Je ne saurais sans vous comment m’acquitter de tout ce que je lui dois.
Vous ne me remerciez pas pour vous avoir amené Lisène ?
Je vous devrai la vie.
Seigneur don Juan, mon frère et moi, pénétrés de ce que vous
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Tanto por cumplir con ella
Alguna mular memoria, etc., etc.