avez fait pour nous, nous voudrions vous en témoigner notre gratitude. Entrez, et reconnaissez cette maison[1].
Il faut, madame, avoir pour vous les sentiments que je vous ai voués pour accepter cette faveur, et vous me comblez. J’allais partir ; mais vous exigez que je reste, je me soumets à mon bonheur, et je resterai ici à vos ordres aussi longtemps que vous le voudrez.
Vous vous conduisez en galant homme que vous êtes.
Venez, madame, prendre possession de cette maison qui est vôtre.
L’amour est un rêve de l’âme.
Place ! place !
J’étais venue avec des intentions pacifiques, et me voilà de nouveau prête à la guerre. Quel sentiment subit s’est élevé en moi ! À peine ai-je vu un moment ce don Juan, et mon cœur est à lui !
Entrez, mon bien, entrez, car vous aussi vous devez prendre possession de ces lieux.
Ô mon bien adoré ! je mets à vos pieds ma bouche et mon âme.
Votre grâce n’a rien à me dire ?
Je suis à votre excellence.
Je me félicite de me trouver dans la même maison.
Vous ne m’en avez pas beaucoup d’obligations.
Avez-vous vu la mule ?
Ma foi, non. Pourquoi cette demande ?
C’est que je ne sais plus sur quelle bête vous emmener si nous allons nous marier au pays qui a vu naître la mule.
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Entrad, y reconoced
Esta casa.Formule de politesse espagnole.