Si Monsieur de la Palice s’est jamais occupé d’Aéronautique, il a bien certainement émis la proposition suivante : « Quand on s’élève dans les airs, on risque de tomber » et si, à l’encontre du mépris héroïque professé par ses contemporains pour cette évidente vérité, il s’est imposé comme règle de rester à terre tant que ne seraient pas trouvés les moyens propres à conjurer ce risque, il a agi en sage.
Il faut constater que de tout temps, on s’est relativement peu préoccupé de la question des chutes et des méthodes susceptibles de les rendre inoffensives. Est-ce parce que la solution à ce problème ne se présentait pas à l’esprit ? Est-ce parce que l’on estimait impossible la réalisation de dispositifs pratiques et qu’en conséquence on cherchait seulement à éviter, sans prévoir ? Toujours