Page:Loti - Jérusalem, 1895.djvu/22

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traînée ininterrompue, d’une couleur et d’un luisant de corbeau ; c’est inouï, ce que ce hameau de Beït-Djibrin peut contenir !… Et, au passage de toutes ces bêtes, une saine odeur d’étable se mêle au parfum de la tranquille campagne.

La vie pastorale d’autrefois est ici retrouvée, la vie biblique, dans toute sa simplicité et sa grandeur.