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Page:Loti - Les Désenchantées, 1908.djvu/336

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mais, pour avoir rencontré le regard de tant de beaux yeux qui souriaient d’aise à cette douce journée, qui exprimaient si naïvement la joie de flâner dehors une fois par hasard, il comprit mieux que jamais, ce soir-là, le mortel ennui des séquestrations.