les cimes vertes, dans la direction de Diou-djen-dji et de notre vieille maisonnette sonore, qu’un repli de montagne nous cache.
C’est très gentil de sa part, ce désir de m’aider dans mon déménagement là-haut ; mais je crois aussi qu’il tient à faire ses adieux à ses petites amies japonaises, et vraiment je ne puis lui en vouloir.
Il se débrouille en effet et obtient, sans que je m’en mêle, la permission pour ce soir cinq heures, après l’exercice et la manœuvre.
Quant à moi, je pars tout de suite, dans un sampan de louage.
Au grand soleil de midi, au bruit tremblant des cigales, je monte à Diou-djen-dji.
Les sentiers sont solitaires ; les plantes, accablées de chaleur.
Cependant voici madame Jonquille, qui se promène, à cette heure lumineuse des sauterelles, abritant sa délicate personne et son fin minois sous un immense parasol en papier, tout rond, à