pentir ; mes péchés sont rouges comme le cramoisi, mais il me blanchira ; du reste n’a-t-il pas dit : Quiconque croit en moi aura la vie ? Ô Dieu ! mon père, oui, je crois en toi, en ton Saint-Esprit, et mes prières ardentes montent vers ton fils afin qu’il intercède pour moi et qu’il m’aide à traverser la sombre vallée de l’ombre de la mort. Ô Dieu, j’ai péché ; mais tu es un père de pardon et d’amour. Aie pitié, Seigneur, reçois-moi comme un de tes enfants, car je crois et quiconque croit sera sauvé.
» Ô amis chéris, la mort est douce en Dieu ; elle se présente à moi sans m’effrayer, je la contemple venir. Car ce n’est point une séparation, ne serons-nous pas tous éternellement réunis ?
» Au revoir, mes bien-aimés, à cette patrie d’en haut, à ce séjour des élus… Au revoir, au revoir, c’est une pensée consolante.