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LE ROMAN D’UN ENFANT

traire d’adorables chattes angora se succédaient en dynastie. Quand j’allais la voir, après s’être informée de toutes les personnes de ma famille, elle manquait rarement d’ajouter, avec une impayable condescendance qui suffisait à me donner le fou rire : « Et… ton horreur de chat… est-il en bonne santé, mon enfant ? »