trer ici… une auguste visiteuse, Sire… Son Altesse la Princesse Aline.
Pausole bondit :
— Ici ?… Ma fille est ici ?… dans ce lieu de perdition et de proxénétisme ?
— Elle demande secours… murmura le vieillard presque défaillant.
— Et contre qui ?
— Contre son destin, Sire, contre son destin… elle n’accuse personne.
— Elle est seule ?
— Toute seule.
— Dites-lui donc que je l’attends ! elle se jettera dans mes bras.
— Oui… mais auparavant… elle demande que nous lui assurions… les libertés que vous trouviez à l’instant si équitables, Sire, et que vous déclariez justement offertes à la jeunesse des deux sexes.
— Allons ! qu’est-ce que cela signifie ?… Où est ma fille ?… J’entends la voir à l’instant même.
On la pria d’entrer.
Comme pour affirmer par un signe extérieur toutes les libertés qu’elle avait déjà prises, Line