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ça m’amusait encore plus que les michés.

« Jamais maman ne me laissait seule avec un homme. Chaque fois qu’on m’enculait, elle me tenait les fesses, elle me mettait elle-même la pine dans le cul, ainsi on ne me faisait pas mal. Et pourtant j’en ai eu des queues à cet âge-là ! Les hommes qui enculent les petites filles sont ceux qui ont les plus gros membres, est-ce drôle ? Mais, grâce à maman, jamais je n’ai saigné.

« En même temps j’apprenais à aider maman. Quand on l’enculait devant moi, je suçais les couilles de son ami ou bien je faisais… ce que Lili fait maintenant… c’est difficile à expliquer… je mettais toute la main dans le con de maman et j’empoignais la queue qu’elle avait dans le cul en la serrant dans la peau qui sépare le con et le cul, est-ce que tu comprends ? et ainsi je branlais la pine qui enculait maman. Lili te le fera demain si tu veux.

« Cette existence-là durait depuis un an quand il m’est arrivé la chose la plus extraordinaire de ma vie. Et pourtant, j’en ai vu, depuis ! et j’en ai à te dire, tu verras ! Mais ça, c’est à ne pas le croire, si je ne te jurais pas… »

Charlotte leva le bras :

« Je te jure sur la tête de maman que c’est vrai.

« J’avais neuf ans. C’était en juillet. Nous avions déjeuné avec un monsieur dont je sais bien le nom. À quatre heures nous avons couché tous les trois à poil sur le lit. Maman était saoule, ça ne lui arrive pas souvent. Je me souviens qu’en se couchant elle m’a dit : « Oh ! ta