— Oui. Ça n’est pas drôle. Tu es bien gentille de ne plus l’avoir, ton pucelage, où l’on ne pouvait passer qu’un crayon.
— Ah ! Eh bien, suppose qu’on te dise : voilà Charlotte, elle a douze ans ; vous pouvez l’enculer dans toutes les postures ; vous pouvez jouir dans sa bouche ; elle va vous lécher le ventre, vous sucer les couilles, vous faire feuille de rose et tout ce que vous voudrez. Elle fera devant vous minette à sa maman ou bien elle l’enculera avec un godmiché, etc. etc., et tout ça vous coûtera cent louis. Qu’est-ce que tu dirais ?
— Je dirais que je n’aime pas les mauvaises plaisanteries.
— Alors ça ne t’étonnera pas si je l’ai attendu longtemps, mon dépuceleur et si Ricette n’a pas encore trouvé le sien.
« D’ailleurs maman n’y tenait pas. J’apprenais à jouir par le cul ; elle était ravie. Plus je grandissais, plus j’avais de plaisir à me faire enculer. À quoi ça m’aurait-il servi de baiser ?
« J’étais donc très heureuse quand il m’a bien fallu apprendre encore quelque chose de nouveau. Devine quoi. Regarde-moi et, si tu aimes ce dont il s’agit, tu trouveras tout de suite que je suis un sujet pour… pour… Tu ne devines pas ? Alors c’est que tu n’aimes pas ça… Pour la flagellation.
— Oh ! c’est qu’en effet je n’aime pas ça du tout. Et pourquoi es-tu un sujet…
— Parce que je pleure comme une fontaine et que cela fait le bonheur de ces messieurs.
— Ma pauvre Charlotte !