Page:Louis Bethléem - La littérature ennemie de la famille, Librairie Bloud & Gay, 1923.djvu/12

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le droit et le devoir de lutter contre l’influence dévastatrice et profondément antifamiliale de cette littérature.

Enfin, les familles décidées à l’action trouveront, dans les conclusions pratiques que nous proposons, d’abord le moyen de mettre la littérature ennemie hors d’état de leur nuire, ensuite de favoriser la littérature amie et alliée qui consentirait à défendre, d’accord avec elles, les droits que nous possédons, que nous proclamons, que nous voulons revendiquer jusqu’à complète satisfaction.

Tels sont les trois points sur lesquels nous voudrions successivement appeler l’attention des dirigeants et des chefs de famille.