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I

Les romans et les pièces de théâtre


1. — Les romans et les pièces de théâtre qui représentent la littérature ennemie ont proclamé la souveraineté de l’amour. L’amour soumet donc à ses lois brutales tous les éléments qui composent la famille, notamment la femme qui est ainsi ravalée à la qualité de poupée, de révoltée, de courtisane, etc.
2. — Deux œuvres types de la littérature ennemie de la famille : l’œuvre romanesque de Victor Marguerite ; l’œuvre dramatique de Georges de Porto-Riche, de l’Académie française.
3. — Ces œuvres dévastatrices se répandent de plus en plus dans tous les milieux, et y portent leurs fruits. Elles dissolvent et ruinent la famille : car elles y introduisent les désordres dûs à l’amour souverain ; elles favorisent la stérilité volontaire, l’union libre et l’adultère ; elles corrompent les jeunes gens et les jeunes filles ; elles discréditent la femme reine du foyer au profit de la femme de mauvaise vie.


La littérature ennemie de la famille forme une