Page:Louis Pergaud - Les Rustiques nouvelles villageoises, 1921.djvu/119

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aussi pour arroser le bon marché qu’il avait fait en vendant sa génisse.

Et voilà pourquoi maintenant les gens de Bémont-en-Comté, quand on leur parle de la Vouivre, hochent la tête et clignent de l’œil d’un air entendu et un peu narquois en vous disant :

— La Vouivre, il y a beau temps qu’on l’a tuée !