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Page:Louis de Beaufront-Commentaire sur la grammaire Esperanto.djvu/161

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commentaires sur la grammaire esperanto

lieu suivent le verbe auquel ils se rapportent. Ex. : Apenaŭ ŝi venis al la fonto, ŝi vidis sinjorinon, kiu eliris el la arbaro. — La soldatoj kondukis la arestitojn tra la stratoj de l’urbo. — Li staras supre sur la monto kaj rigardas malsupren sur la kampon. — Li venos dum la monato proksima.

Tous les autres compléments circonstantiels suivent également le verbe auquel ils se rapportent, à moins que, pour leur donner plus de relief, on ne les mette en tête de la phrase. Nous allons le constater dans les exemples suivants : Mia onklo ne mortis per natura morto. — Mi eksaltis de surprizo. — Se vi legos la libron po dek kvin paĝoj ĉiutage, vi… — Li eniris kun longa bastono. — Kiu okupas sin je fiziko, estas fizikisto. — Kun sia malsana mieno kaj sia voĉo tremanta de timo la infaneto ŝajnis al ni tiel kompatinda ke

Place du complément d’un nom, d’un adjectif ou d’un participe-adjectif. — Le complément d’un nom, d’un adjectif ou d’un participe-adjectif les suit toujours, Ex. : La amo al ou por Dio. — La amo de Dio. — La honto pri ou pro lia faro. — Ĝoja de la venko, li… — Timigita de tiu apero, mi forkuris.

Place de l’infinitif. — L’infinitif est en réalité un nom verbal. Aussi joue-t-il le même rôle que le nom : il est sujet, attribut ou complément. Quand l’infinitif est sujet, il suit naturellement la règle du sujet, c’est-à-dire qu’il précède ordinairement le