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Page:Loviot - Les pirates chinois, 1860.djvu/64

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l’absence de l’eau s’y faisait sentir, comme en d’autres localités, à certaines époques de l’année.

Après y avoir séjourné deux mois et demi pour nos affaires de commerce et nous être défaits heureusement de nos marchandises, nous retournâmes, ma sœur et moi, à San-Francisco. Ce voyage, des plus fatigants, nous avait été fort pénible, et nous avions le désir de nous établir à San-Francisco.