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Page:Lozeau - Le Miroir des jours.djvu/186

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LE MIROIR DES JOURS


EN MARGE DE MUSSET


 
Pleurs, lamentations d’amour, détresse, haine,
Désespoirs, sanglots immortels,
Doute qui s’agenouille au pied des vieux autels,
Musset, toute l’angoisse humaine !

Pour avoir écouté chanter les passions, ―
Sirènes, voix d’or dans la brume,
Merveilles qui ne sont, hélas ! que fictions, ―
Grand cœur ravagé d’amertume !