Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/48

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talent. L’un & l’autre s’affoiblirent. La première dégénéra même tout-à-fait, par un goût que l’on n’explique pas. Cette trop fameuse Sophie, je ne dirai pas s’attacha, mais s’acharna à moi. C’étoient les soins les plus empressés, les attentions les plus délicates, l’art de prévenir les moindres desirs. Vous le dirai-je ? elle me séduisit. Son esprit me fit illusion, & j’en demande pardon à la nature, mais il n’est pas possible de la tromper avec plus d’adresse ».

« Ce genre de distractions me sauva de la perfidie des hommes, ou de leur tyrannique empire. Les querelles de la comé-