Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/58

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cependant. Non, Madame nous n’en sommes pas à ce degré de liaison ; mais j’y viendrois sans peine, si je croyois ajouter un degré à ma félicité. Mon ami est si digne de toute espèce de sacrifices, que je n’en rougirois ni devant le ciel, ni devant les hommes. — Quelles sont vos occupations, ma belle Coraly ? — Nulle, Madame, que d’étudier ses goûts & la façon de lui plaire. — De quoi vous entretenez-vous ensemble ? — Du bonheur d’y être ; des douceurs de la vertu, des ressources de l’amitié, &, tant que je le peux, de ma vive reconnoissance. — Se repose-t-il sur vous du soin de sa maison ? Si je l’en