Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/79

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cellent, lui dit-il, pour tous les autres pays ; mais il y a dans celui-ci tant de canaille, que toutes les éducations n’y feroient rien : quant à la noblesse, elle est partout élevée de la même façon.

Il se flatte de ne pas entendre les mêmes raisons des successeurs du peuple romain. Le Pape lui fit dire qu’il aimoit les filles, & les marioit ; que l’éducation de leurs enfans regardoit l’avenir, qu’il étoit si las des cours de Bourbon, des affaires de l’Empire, & de la thiare en général, que s’il étoit à recommencer, il la laisseroit à qui voudroit s’en coëffer.

On ne lui conseilla pas d’aller à Turin. On y commence par exa-