Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/80

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

miner si ce qu’on propose s’est fait autrefois, & si l’on n’en rencontre aucune trace, refusé, comme nouveauté dangereuse.

Il s’embarque donc à Livourne pour l’Espagne. Il eut grand soin de n’y pas calculer le revenu des moines. On lui promit la première résolution dans six mois. Chaque incident auroit amené la même difficulté, & une génération toute entière auroit eu le tems de parler, avant qu’on se fût décidé sur son éducation.

Il ne lui restoit plus que la France. Il y arrive au mois d’Auguste, après dix-huit mois de course. Un de ses amis lui dit en courant : si vous voulez faire présenter