Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome II.djvu/91

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thèque, & lui recommandoit de brûler le manuscrit 36, lorsqu’il l’auroit lu, en cas que cet article de ses volontés dût demeurer sans effet.

Après la lecture de ce testament, leur étonnement fut extrême. Il leur avoit caché pendant sa vie une grande partie de sa fortune ; elle étoit considérable. Coraly devoit en jouir, & à peine la connoissoit-il. Les manuscrits seuls pouvoient donner la clé de ses dispositions. Ils se pressent de lire celui qui étoit sous le No. 37. Voici ce qu’il contenoit.

« Lorsque j’eus renoncé au monde, je ne me sentis pas